Sauge vs Dyson : nettoyer le visible et l'invisible (Quand le chaman rencontre l’ingénieur)
- Melanie Verola
- 16 mars
- 3 min de lecture
Il existe deux façons de faire le ménage : celle que tu vois, celle que tu ressens.
Parce que la loi de l’attraction, c’est séduisant — mais si ton salon ressemble à une brocante post-cyclone, même l’univers va hésiter à répondre.
Si tu veux véritablement rééquilibrer ton espace — et ton esprit — il te faut le juste équilibre : un Dyson pour la matière, une sauge pour l’énergie.
Parce que l’ordre appelle la clarté.
Parce qu’un espace saturé entrave le mouvement — et le mouvement, c’est la vie.
La sauge : l’aspirateur spirituel
La sauge, c’est du Palo Santo Haute Définition.
On ne parle pas ici d’ambiance hippie feutrée, mais d’un vrai reset énergétique.
Tu allumes la tige, la fumée s’élève — c’est là que quelque chose s'ouvre.
On ne chasse pas juste une mauvaise odeur, on déloge les mauvaises vibrations.
Les tensions post-règlement de comptes, l’électricité statique après une mauvaise nuit, le poids sourd d’un "je ne sais quoi"… La sauge capte tout ça et le brûle.
Le protocole :
On commence par la porte d’entrée (tu ouvres le passage, littéralement).
Tu fais le tour des pièces, en insistant sur les coins — parce que les énergies lourdes aiment se terrer là, comme de la poussière sous le canapé.
Si une zone "résiste" (fumée dense, lourdeur), tu insistes. Doucement. Jusqu’à ce que l’air soit plus léger.
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